Une image
par jour #15
jeudi 30 mars 2017
mardi 28 mars 2017
dimanche 26 mars 2017
samedi 25 mars 2017
Hajime Sawatari, Simon the actor, 1972
Photographie
de l’acteur et créateur de poupées Yotsuya Simon.
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vendredi 24 mars 2017
jeudi 23 mars 2017
mercredi 22 mars 2017
Marie-Vison, Oeil de chat et vampires malicieuses. Quelques dessins d'Aquirax
On ne connait pas
vraiment Aquirax Uno en France, excepté ses affiches pour Terayama. C’est
pourtant l’un des plus délicats et personnels dessinateurs des années 60-70. On
croise dans ses dessins des Twiggy japonaises élancées mais aux yeux toujours
mélancoliques, des éphèbes au sexe transformé en fleurs, de suaves vampires et
des jolies sorcières.
Fausco Maraini, Femme ainou tatouée, 1956
Une image par
jour #9
« Femme
ainou, grosse moustache tatouée sur le visage. Cet usage a été interdit par le
gouvernement japonais depuis longtemps ; il n’a été conservé que par de
rares femmes âgées. (Villages de Nibutani, Hidaka, Hokkaido) »
Fausco
Maraini, Le Japon ed. Arthaud, Paris 1959.
lundi 20 mars 2017
dimanche 19 mars 2017
samedi 18 mars 2017
la guerre ressemble aux lettres qu’on brûle
Sur la machine d’Hayao, la guerre ressemble aux lettres qu’on brûle, et qui se déchirent elles-mêmes dans un liseré de feu. Le nom de code de Pearl Harbour était Tora, tora, tora : le nom de la chatte pour laquelle priait le couple de Go To Ku Ji. Ainsi, tout cela aura commencé par un nom de chatte prononcé trois fois.
Au large d’Okinawa, les kamikaze
s’abattaient sur la flotte américaine. Ils deviendraient une légende. Ils s’y
prêtaient mieux, évidemment, que les sections spéciales qui exposaient leurs
prisonniers au gel de Mandchourie et ensuite à l’eau chaude, pour mesurer à
quelle vitesse la chair se détache des os. Il faudrait lire leurs dernières
lettres pour savoir que les kamikaze n’étaient pas tous volontaires, et que
tous n’étaient pas des samouraïs fanatisés. Avant de boire sa dernière coupe de
saké, Ryoji Uebara avait écrit :
" J’ai toujours pensé que le
Japon devait vivre librement pour vivre éternellement.
Ça peut paraître idiot à dire
aujourd’hui, sous un régime totalitaire... Nous autres, pilotes-kamikaze, nous
sommes des machines, nous n’avons rien à dire, sinon supplier nos compatriotes
de faire du Japon le grand pays de nos rêves. Dans l’avion je suis une machine,
un bout de fer aimanté qui ira se fixer sur le porte-avions, mais une fois sur
terre je suis un être humain, avec des sentiments et des passions...
Pardonnez-moi ces pensées désordonnées. Je vous laisse une image mélancolique,
mais au fond de moi je suis heureux. J’ai parlé franchement. Excusez-moi." Chris Marker - Sans soleil (1982)
Urbangarde - Burning Love Letter (2016)
& Lip Democracy (2016)
Mamoru Oshii -Sky Crawlers (2008)
Chris Marker - Sans soleil (1982)
Labels:
Chris Marker,
Cinéma,
Oshii Mamoru,
Urbangarde
vendredi 17 mars 2017
mardi 14 mars 2017
lundi 13 mars 2017
samedi 11 mars 2017
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