On ne connait pas
vraiment Aquirax Uno en France, excepté ses affiches pour Terayama. C’est
pourtant l’un des plus délicats et personnels dessinateurs des années 60-70. On
croise dans ses dessins des Twiggy japonaises élancées mais aux yeux toujours
mélancoliques, des éphèbes au sexe transformé en fleurs, de suaves vampires et
des jolies sorcières.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire